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site anti sarko torapamavoa 7 mois d’emprisonnement pour jet de yaourt sur la voiture de Sarkozy !!!

Posté par goalexandre le 27 décembre 2007

 

source:

http://torapamavoa.blogspot.com/2007/12/olivier-thron-7-mois-demprisonnement.html

Olivier Théron : 7 mois d’emprisonnement pour jet de yaourt sur la voiture de Sarkozy !!!

Communiqué de Vélorution Toulouse
Le 30 novembre dernier Olivier Théron, fondateur de la vélorution toulousaine, a été incarcéré à la Maison d’Arrêt de Seysses sur la décision du Procureur de Toulouse pour purger une peine de 7 mois d’emprisonnement.

Nous ne connaissons pas encore les circonstances exactes dans lesquelles Olivier a été mis sous écrou cependant nous savons que les policiers sont venus l’aborder le mardi précédent au marché bio du Capitole où il venait s’installer pour le « garage-volant » et ont confisqué �volé- la charrette et les caisses à outils de l’association. Ils ont été retrouvés plus tard dans un garage de dépôt de la police, sans qu’aucun signalement de cette intervention n’ait été enregistré au commissariat. Olivier s’étant rendu lui-même au commissariat mercredi 28 novembre, suite à la disparition de la charrette, il lui a été signifié qu’il n’y avait pas de mandat de dépôt à son égard.
Jeudi après-midi les policiers l’ont de nouveau approché à l’atelier ou aux alentour de l’atelier de l’association situé à Mix’Art Myrys. Les éléments pour relater la suite sont encore partiels, mais ce qui se dessine, ce sont des conditions d’incarcération tout à fait en dehors de la procédure « normale » avec un passage au commissariat caractérisé par de nouvelles violences et lors duquel il est apparu que les policiers ont délibérément profité des obsèques du fils d’un proche qui rassemblait beaucoup de personnes de son entourage, vendredi, pour agir contre Olivier.

Olivier et les membres de l’association Velorution n’ont jamais cessé de contester et de dénoncer les condamnations à la peine de prison prononcés à l’égard d’Olivier. Les condamnations mises en exécution aujourd’hui par le procureur sont celles pour
- outrage à ministre par jet de yaourt sur la voiture de Sarkosy (4 mois)
- entrave à la circulation et rébellion lors de son arrestation sauvage en avril 2005 à la fin d’une manifestation de cyclistes (2 mois)
- outrage à magistrat sous forme de lettre envoyé au juge (1 mois), lettre dénonçant les multiples entraves aux droits élémentaires de la défense comme le refus systématique de fournir la copie du dossier d’accusation, l’écartement de toutes pièce et témoignage attestant de l’harcèlement et des méthodes irrégulières employées par la police, le refus d’instruire les plaintes déposées par l’association et Olivier lui-même, et, de manière générale, les conditions dans lesquelles se sont déroulés les procès.

Les démêlés d’Olivier avec la justice toulousaine ont commencé en 2002, année de l’ouverture du premier atelier de la Vélorution lorsqu’il a été inculpé pour « outrage à agent » suite à une interpellation avec garde à vue pour avoir grillé un feu à vélo. Après avoir dénoncé publiquement quelques mensonges et machinations de la police suite à sa garde à vue, il s’est retrouvé dans le collimateur d’une petite frange de cette corporation professionnelle à Toulouse. Le jet de yaourt sur la voiture ministérielle en février 2004 suivi de ses confessions publiques et médiatiques sur la nature de son acte, a donné le point de départ pour un acharnement policier et judiciaire inaugurant déjà la France de l’ère de Sarkosy.

La décision du procureur de mettre en exécution des peines de prison à l’encontre d’Olivier est une décision politique. Aucun des faits incriminés n’a causé des dommages corporels, matériels ou financiers si ce n’est ceux essuyés par l’association et Olivier lui-même. La seule raison pour laquelle il se trouve aujourd’hui en prison, c’est qu’il n’a jamais voulu se soumettre, ni aux injustices ni aux intimidations ni aux pratiques de certains policiers qui prennent leurs aises avec les lois et jouissent d’un privilège de plus en plus insupportable dans ce pays, celui de n’être jamais inquiétées ou mis en cause. Il est allé jusqu’au bout dans sa démarche, sans jamais perdre son courage. C’est la raison pour laquelle il est aujourd’hui en prison. Car pour le reste, il s’occupe de bicyclettes et consacre son temps et son énergie à ceux et celles qui les empruntent. Avec les ateliers de réparation, de récup et de recyclage, il a mis en place un outil collectif précieux pour l’autonomie des cyclistes. Rejoint par d’autres vélorutionnaires, il a ouvert une brèche, une alternative concrète, pour rompre la logique automodébile et ses répercussions néfastes sur la maîtrise de nos vies.

Il faut craindre que rien ne lui sera épargné en termes de pénibilité des conditions de détention car l’objectif et non seulement de l’isoler, mais de briser l’individu.

C’est pourquoi la seule exigence que nous avons et que nous allons faire entendre, est qu’il sorte de prison ! Tout de suite !

Vélorution Toulouse

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NON AUX FICHIERS INFORMATIQUES CENTRALISEE DES 3 ANS

Posté par goalexandre le 27 décembre 2007

 

 

Le collectif Pyrénées-Atlantiques « Non à base élèves » lance la campagne citoyenne de refus du logiciel base élèves.

Les conseils d’école et les conseils municipaux sont appelés à se prononcer. Les citoyens peuvent signer et faire signer la pétition départementale jointe.

Collectif Pyrénées-Atlantiques « Non à base élèves » : SNUipp-FSU, SGEN-Cfdt, CGT-Éduc’action ; FCPE, MRAP, Ligue des Droits de l’Homme Bayonne, Ligue des Droits de l’Homme Pau, Collectif anti-délation, Réseau Éducation Sans Frontières 64


 

Qu’est-ce c’est ?

Depuis 2004, le ministère de l’Éducation nationale a décidé, sans concertation, de mettre en place un fichier informatique centralisé nationalement et dont les données sont partageables entre école, mairie et autres administrations. Ce fichier s’appelle base élèves premier degré. L’admin­ist­ration entend passer en force pour généraliser le dispositif d’ici 2009.

Des outils informatiques existent bien entendu déjà pour la gestion des élèves et le fonctionnement des écoles mais ils ne sont pas centralisés ni partageables. Il s’agit de fichiers dont les données ne sortent pas des écoles ou des mairies. Le suivi pédagogique est fait, lui, grâce au livret scolaire qui doit être communiqué aux familles.

Avec base élèves, les choses sont différentes.

C’est un fichier national, centralisé et conçu pour partager des données concernant la scolarité des élèves (cursus scolaire, aides médicales, suivi RASED) mais aussi la situation familiale et administrative des familles (nationalité, situation matrimoniale par exemple). La communication du contenu des dossiers aux familles concernées est facultative (et ne fonctionne pas à ce jour !).

Dès l’âge de 3 ans, les enfants se voient attribuer un numéro qui ne les quittera plus. Tout ce qui concerne leur scolarité, mais aussi leurs difficultés, leurs besoins éducatifs et une partie de leur vie familiale sera inscrit dans un fichier informatisé. Des données relevant du secret professionnel comme le suivi psychologique des enfants seront partageables par une multitude d’intervenants. Le nom même de base élèves est trompeur car de nombreux renseignements stockés n’ont rien à voir avec la scolarité. Tout cela, pour une durée inconnue.

Dans les Pyrénées-Atlantiques, 25 % des élèves des écoles sont déjà entrés dans le système, souvent à l’insu des parents, l’administration dépense une énergie intense pour étendre rapidement le dispositif à toutes les écoles.

Pourquoi base élèves ?

La loi instaure maintenant le partage obligé d’informations entre les administrations, les maires et les différents acteurs sociaux, elle autorise le maire à constituer des fichiers à partir des données transmises par les établissements scolaires (changements d’établissement, avertissements, sanctions, absentéisme).

La volonté affichée du président de la République est de reconduire à la frontière des dizaines de milliers de familles sans papiers. Il ne fait aucun doute que les données de ce fichier pourront être utilisées un jour par la police. Ça peut être pour les sans papiers aujourd’hui, mais aussi pour toute autre tâche, tout autre service de l’État, demain. Avec l’interconnexion des fichiers, les espaces de vie privée disparaissent les uns après les autres. Base élèves s’inscrit donc dans la logique du contrôle de l’ensemble de la société.

Nous refusons le principe d’un fichier informatisé national et partageable des enfants.

Que faire ?

L’action a déjà donné des résultats : les mobilisations de parents et enseignants, le refus de certaines mairies (Paris, Grenoble..) ont conduit le ministre de l’Éducation nationale X. Darcos à annoncer début octobre 2007 le retrait des rubriques à caractère éthnique. Mais aucune instruction écrite n’est toutefois encore venue confirmer cette annonce.

Dans les écoles, dans les mairies, des oppositions s’élèvent. Base élèves ne sert à rien pour améliorer la réussite scolaire des élèves, base élèves est par contre l’outil idéal pour un contrôle renforcé de la population.

Faisons appliquer le droit au respect de la vie privée et le droit à la protection des données individuelles !

Nous refusons le fichage généralisé des enfants.

Documents joints


Descriptif :

Je demande l’arrêt du logiciel base élèves premier degré

Identifiants personnels

Lien hypertexte :

Si vous avez un site Web, vous pouvez l’indiquer ci-dessous

Date Nom Message
26 décembre goalexandre
26 décembre TEZBU
26 décembre ALAVA Begoña
26 décembre soulier
26 décembre Asha Gopaul-Pfau
24 décembre BARRIERE Anne-Claire
23 décembre sandoz denis
23 décembre Marie-Jo
23 décembre METAYER AGEST
22 décembre dauphinot
22 décembre caroline Brulefert, éducatrice spécialisée, Toulouse
22 décembre Jonery
21 décembre Filaire
21 décembre marcaillou
21 décembre etcheber

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