LES PRO COMMUNISTES NE CONNAISSANT PAS LE CONTEXTE LOCAL APPUIENT L’IRRESPONASBILITEE SUR L’INSECURITEE LOCALE
Posté par goalexandre le 15 mars 2008
BONJOUR A TOUS ET A TOUTES
Je suis profiondément de gauche mais la methode des procomunistes me deplait et est anti democratique selon moi,moi je vis a saint denis depuis des années et je connais bien la reamlitée quotidienne par contre Serge Regourd
Professeur de droit public et de sciences politiques à l’Université.
ne me semble pas connaitre cette realitée et je pense que ce monsieur es un irresponsable et ne se rend pas compte de la portée des ses ecrits
dans nos quartiers le soir des individus trainent et font le guet et avertissent d’autres de l’arrivée de ^personnes qui viennent tranquillement sur leur zone ils considerent ces zones come les leurs et agissent en creant la peur
l’insercuritée a tel point que beaucoup de dionysiens anciens partent
une petite minoritée de malfaisants agressent des petits vieux des jeunes des femmes cela est la veritée et ce professeiur de pacotille vient nous faire la leçon de socialisme
ras le bol des ces intellos qui ne savent qu’ecrire ras le bol de ces beaux parleurs nous voulons retyrouver notre ville populaire ou tout le monde y a sa place ou il fait bon vivre nous sommes humanistes avant tout et rien ne justifiera le laisser aller de la violence nous socialistes voulons metre un terme a ces agissements de cette minoritée malfaisante qui pourrie la vie de travailleurs qui ont deja du mal a vivre
a voir et a commenter
13.03.2008
Quand l’absence d’éthique trahit une identité politique
Serge Regourd à propos des élections à Aubervilliers
Élections à Aubervilliers, et en Seine-Saint-Denis :
Quand l’absence d’éthique trahit une identité politique.
Je n’ai jamais été membre du Parti Communiste mais mes engagements culturels et de défense des services publics m’ont conduit à de fructueux « compagnonnages » avec des élus communistes, en particulier avec Jack Ralite au sein des Etats Généraux de la Culture. Voici quelques mois encore, j’ai prononcé une conférence sur les services publics à Aubervilliers sur l’invitation de Pascal Beaudet et j’ai pu concrètement mesurer à quel point ces valeurs de service public étaient au cœur de l’action municipale de ces élus.
Comme de nombreux intellectuels et artistes partageant ces valeurs, je me sens directement concerné, et blessé par ce qui s’est tramé au lendemain du 1° tour des municipales à Aubervilliers comme à Bagnolet, à La Courneuve ou à Saint-Denis. Pour la première fois, des responsables socialistes battus par le suffrage universel dans des « primaires » à gauche, ont décidé de passer outre à la « discipline républicaine » qui a toujours été au centre des grandes alternances politiques entre Droite et Gauche, en se maintenant contre les maires communistes sortants, spéculant ainsi sur la récupération des voix de droite pour les faire battre. A ce stade de méprisables calculs politiciens de court terme, ravalant la confrontation politique à de pures logiques claniques, ce n’est plus de politique dont il s’agit mais de négation des principes les plus élémentaires de l’éthique. Comment de tels responsables politiques peuvent-ils à ce point trahir le beau mot de « socialiste » qui est supposé fonder leur action. Face à une telle usurpation d’identité politique, tous ceux qui croient encore au sens de l’engagement politique et au principe de loyauté qui le fonde, attendent avec confiance que dimanche prochain, les électeurs socialistes sachent eux-mêmes sanctionner sévèrement ceux qui prétendent abusivement les représenter…
Serge Regourd
Professeur de droit public et de sciences politiques à l’Université.
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