SENATEURS TAXEURS A quoi sert le Sénat: D’abord à financer les privilèges (plus de 4 000 euros mensuels de retraite pour 15 ans de cotisation
Posté par goalexandre le 17 janvier 2009
Bonjour a tous
ras le bol de ces priviligiés qui passent leurs temps a faire des lois pour nous taxer pendant ce temps là eux ils ne craignet rien ils ont des remunerations et privileges que nous citoyens normaux n’auront jamais
« Le Sénat veut une redevance télé sur les
ordinateurs »
Sénateurs taxeurs!
Comment s’y prendre pour provoquer une explosion sociale en France?Facile: vous êtes « aux commandes » dans des salons dorés en plein centre de Paris et vous décidez de manière purement comptable et bureaucratique d’augmenter la redevance télé et d’étendre cette redevance aux ordinateurs,
c’est juste un « petit rien » pour les élites, juste un ajustement, et c’est pour notre bien ! Pour le salut de l’audiovisuel public !
On a bien sur tous le budget pour raquer 120 euros, d’ailleurs on a plein d’euros qui trainent dans toutes les pièces ! On ne sait plus quoi en faire! Y’a des traders qui en veulent ? Passez chez moi, servez vous, en plus je paye la tournée !
Et c’est l’ évidence même, on surfe sur internet pour regarder les chaines de télé afin de rester en permanence en soumission avec le politiquement correct ! Afin de se repayer continuellement les mêmes têtes, jusqu’à la nausée, se repayer les beaux parleurs, commentateurs, journaleux, serviteurs du système, et autres guignolos des émissions de jeux stupides et crétinisantes.
On est juste des consommateurs de produits télévisuels ! Des consommateurs de télés ! D’ailleurs on ne pense plus, on est préformaté, on est taxable ! Vas-y saque moi, envois moi au RSA, pas de complexe, vas y cogne !
Sur le site online radio: « Le Sénat veut une redevance télé sur les ordinateurs »
Le Sénat : Enquête sur les superprivilégiés de la République
de Robert Colonna d’Istria, Yvan Stefanovitch
Editions du Rocher (septembre 2008).
Résumé du livre:
A quoi sert le Sénat, institution deux fois centenaire qui nous coûte chaque année plus de 300 millions d’euros? D’abord à financer les privilèges (plus de 4 000 euros mensuels de retraite pour 15 ans de cotisation) et les rémunérations royales (11 540 euros net par mois) des derniers princes de la République, nos 331 sénateurs. Et aussi à entretenir les 1 260 fonctionnaires les
mieux rémunérés de l’Hexagone (de 2 300 à 20 000 euros net mensuels), qui font la semaine de 32 heures et ont presque 4 mois de vacances.
Luxe, calme et volupté… Et, dans l’esprit de beaucoup, de Jospin à Sarkozy, ces super-privilèges n’ont pas la moindre justification, car, selon eux, cette deuxième Chambre ne sert à rien.
La réalité est édifiante: un petit tiers des sénateurs travaille, un gros tiers vient de temps en temps à Paris et les autres appartiennent à la famille des rois fainéants. Un royaume hors du monde et du temps ?
Pas tout à fait. Car nos sénateurs, qu’ils soient de droite ou de gauche, sont assidûment courtisés par des lobbies de tout poil. Des marchands d’armes aux semenciers, chacun connaît la capacité de ces édiles à peser sur la diplomatie française ou à modifier un texte de loi.
Cela justifie bien des « voyages d’études », tous frais payés, quelquefois au bord d’un lagon lointain…
D’autres ténors politiques, en revanche, continuent à considérer la Chambre haute comme un précieux garde-fou contre les dérives des gouvernements et l’obéissance servile de l’Assemblée nationale.
Robert Colonna d’Istria et Yvan Stefanovitch ont mené une enquête pointilleuse qui révèle les petits et grands secrets de l’institution Sénat.
Ils racontent, avec beaucoup de brio, les splendeurs et les misères de notre Chambre « haute « . Et recensent les quinze réformes évidentes à mettre facilement en œuvre pour que les sénateurs ne soient plus des superprivilégiés.
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