• Accueil
  • > Archives pour novembre 2010

POUR MOI CE N’EST PAS UN SOCIALISTE JE NE DISCUTE PAS AVEC LUI !!!!!!répartie trés intelligente de la part d’un president de region

Posté par goalexandre le 13 novembre 2010

Image de prévisualisation YouTube

———————————–
POUR BARTOLONE  G FRECHE  N’EST PAS SOCIALISTE

REPONSE DE GFRECHE  JE SUIS NE SOCIALISTE ET JE MOURRAIS SOCIALISTE QUE CELA PLAISE A BARTOLONE OU PAS

———————————————-
 que chacun chacune a gauche  en tire les leçons  de cet echange   il est bon d’avoir un retour d’experience .

quelques remarques :

Fogiel  est un pro sarkozyste   ses mimiques en disent long  ses questions preparées ne sont pas innocentes

-la présence d’un umpiste adversaire du ps à coté de bartolone qui écoute se dialogue par ecran interposé  qui ne dit rien  qui écoute  on dirait un coup monté  ce qui ne serait pas etonnant de la part de ces pro sarko

- il est evident au vu de ces images  vu l’empressemnt avec lequel les journaleux  se precipitant dés la moindre divergence des deux socialistes  pour en rajouter notament ce  FOgiel a la langue  bien aceré

resultats des courses  Merci a bartolone    qui  a offert le spectacle de la divison a la droite qui devait bien se marrer

Les militants que nous sommes  de base  en avons pris pour notre socialisme a nous 

une pensee tendre pour notre Georges freche

 

 quelques infos  afin de parfaire notre opinion

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/bartolone-pas-question-de-fusionner-avec-freche-au-deuxieme-tour_845415.html

Par Thierry Dupont, publié le 29/01/2010 à 17:41 - mis à jour le 29/01/2010 à 18:16

 

Le Parti socialiste a décidé de présenter aux régionales une liste officielle en Languedoc-Roussillon contre le président sortant, Georges Frêche. Membre de la direction du PS, Claude Bartolone s’explique sur les difficultés de la tâche.

 

Bartolone dit :
Si l’on veut avoir une chance de succès au niveau national, il faut montrer que l’on a changé, que nous avons rénové notre pensée, notre morale, notre projet. Je préfère perdre la région plutôt que de sacrifier tout cela pour permettre à Georges Frêche de conserver son siège de président.

 

http://frbaumal.unblog.fr/cette-tronche-pas-tres-catholique-fabius-aubry-se-roulent-dans-la-fange/

img066.jpg  ” Petitesse des vanités, bassesse des haines”…”A qui se venge longtemps, il en coûte souvent.”

Ce que l’on appelle l’affaire Freche n’est qu’un salmingondis de boue, de haine, de complots, de manipulations.

Freche aurait commis un crime contre la race juive en disant de ce petit saint de Fabius qu’il n’a pas l’air très catholique et aussitôt Solférino, qui a laissé accuser Ségolène de Folle sans broncher, qui a laissé accuser Dray d’abus de biens sociaux, sans broncher alors qu’il n’y avait pas l’ombre d’une preuve contre lui, sort l’artillerie lourde. Et il faut l’exclure du PS! Et il faut déposer contre lui une liste concurrente! Et aujourd’hui, Robert Badinter prônant au minimum l’abstention  au second tour, ce qui revient à demander aux socialistes de faire passer la droite, voir l’extrème droite et ce, pour le simple fait d’avoir proféré un dicton sans aucune connotation raciste, et ce bien que le CRIF ait affirmé que Freche n’était pas anti-juif. Il est même sioniste.

Alors, de qui se moque-t -on?

 

http://www.midilibre.com/articles/2010/01/30/A-la-Une-tt-1092727.php5

Il évoquera aussi les risques pris par les secrétaires des fédérations socialistes du Languedoc-Roussillon ayant boycotté la réunion convoquée samedi après-midi.

A l’ordre du jour de ce concile prévu depuis le début de l’année : les régionales. « Ne pas participer à cette réunion est déjà un signe évident de la volonté assumée des secrétaires fédéraux de se mettre en marge du Parti », commente dans l’entourage d’Hélène Mandroux. On y pousse bien évidemment

cachePubVide(‘pubCarreEdit’); à la roue, afin que les socialistes non-alignés soient contraints sans plus de délais, de choisir entre leur fidélité au PS… ou à Georges Frêche.

Elle rejoignait ainsi l’appréciation de Claude Bartolone, favorable « à laisser une porte ouverte à tous ceux qui peuvent, à un moment ou à un autre, revenir vers le PS et Mandroux, plutôt que faire réélire Frêche et vivre pendant quatre années supplémentaires à côté d’une bonbonne de nitroglycérine »

 

Vincent Peillon : Georges Frêche est « un humaniste »

 

http://www.rue89.com/2010/02/01/vincent-peillon-georges-freche-est-un-humaniste-136475

C’est un humaniste. C’est un professeur de droit romain. Frêche n’est ni raciste ni antisémite. Il s’est exprimé de façon insupportable à plusieurs reprises. J’en ai assez qu’il dise des choses comme ça, on se fait toujours avoir par le buzz comme on dit aujourd’hui.

http://www.lepost.fr/article/2010/02/02/1920568_finalement-vincent-peillon-defend-bien-georges-freche.html

Vincent Peillon défend Georges Frêche mais s’abstient lors Bureau national ?

Publié dans Democratie, Elles et ils chantent la Liberte, Intelligences collectives socialistes, Local, Politique, Société, VIDEO IMPORTANTE A VOIR | Pas de Commentaire »

Qu’est-ce qu’une AMAP ?« Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne

Posté par goalexandre le 1 novembre 2010

http://www.dailymotion.com/video/x1zx50_quyest-ce-quyune-amap-y_newshttp://www.dailymotion.com/video/x1zx50

Quest-ce qu’un AMAP

Le fonctionnement

Une AMAP naît en général de la rencontre d’un groupe de consommateurs et d’un producteur prêts à entrer dans la démarche. Ils établissent entre eux un contrat pour une (on distingue en général 2 saisons de production : printemps / été et automne / hiver), selon les modalités suivantes :

Ensemble, ils définissent la diversité et la quantité de denrées à produire pour la saison. Ces denrées peuvent être aussi bien des fruits, des légumes, des oeufs, du fromage, de la viande
La diversité est très importante car elle permet aux partenaires de l’AMAP de consommer une grande variété d’aliments, d’étendre la durée de la saison, et de limiter les risques dus aux aléas climatiques et aux éventuels problèmes sanitaires.

Pendant la saison, et ce de manière périodique (ex. une fois par semaine), le producteur met les produits frais (ex. les fruits et légumes sont récoltés le matin même de la distribution) à disposition des partenaires qui constituent leur panier. Le contenu de ce dernier dépend des produits arrivés à maturité. Il est possible, dans une certaine mesure, d’échanger les produits entre eux selon ses préférences.
Contrairement à la grande distribution, les consommateurs en AMAP accordent moins d’importance à la standardisation des aliments ; tout ce qui est produit est consommé (alors que dans l’autre cas, ce peut être jusqu’à 60 % de la récolte qui reste au champ). Ce principe est d’une part est très valorisant pour le producteur, et d’autre part il permet de diminuer le prix des denrées en reportant les coûts sur la totalité de la production.

Le groupe de consommateurs et l’agriculteur se mettent également d’accord sur les méthodes agronomiques à employer. Ces dernières s’inspirent de la charte de l’agriculture paysanne et du cahier des charges de l’agriculture biologique (les producteurs possèdent souvent le logo AB). En effet, les participants à l’AMAP recherchent des aliments sains, produits dans le respect de l’Homme, de la biodiversité et du rythme de la Nature.
Les AMAP participent ainsi à la lutte contre les pollutions et les risques de l’agriculture industrielle et favorise une gestion responsable et partagée des biens communs.

Derniers points de discussion préparatoire au lancement de l’AMAP : le prix du panier, le lieu et l’heure de la distribution périodique.

Le prix du panier est fixé de manière équitable : il permet au producteur de couvrir ses frais de production et de dégager un revenu décent, tout en étant abordable par le consommateur.
Il est en général proche de celui d’un panier composé de la même manière en grande surface, tout en ayant une qualité nutritionnelle et gustative supérieure (dégagé du soucis de rendement et de vente, le producteur recherche la satisfaction des consommateurs en privilégiant les variétés végétales -ou races animales- de terroir ou anciennes reconnues pour leur qualité gustative).
Un tel prix est rendu possible du fait de l’absence de gâchis au niveau des produits, de l’absence d’intermédiaires entre le producteur et les consommateurs, et d’un emballage minimum voir absent.
Afin de permettre la participation de tous à l’AMAP, et notamment des consommateurs à faible revenu, différentes possibilités de règlement existent, par exemple la mensualisation des encaissements des chèques ou la réduction du prix du panier en échange d’une aide à la distribution.
En achetant leur part de production à l’avance, les consommateurs garantissent un revenu au paysan. L’AMAP participe ainsi au maintien d’une agriculture de proximité et à la gestion de la pression foncière.

Quant au lieu de distribution, il peut s’agir soit de la ferme elle-même si les partenaires de l’AMAP vivent dans un périmètre proche de celle-ci, soit d’un point de chute situé en ville (maisons de quartier, magasin d’alimentation spécialisée, cour d’immeuble,…).

L’horaire, enfin, est fixé de manière à convenir au plus grand nombre. Afin de permettre au producteur de se concentrer au mieux sur la qualité de son travail, un comité de bénévoles est formé parmi les consommateurs partenaires de l’AMAP. Il comprend en général un coordinateur, un trésorier, un responsable de la communication interne, un responsable animation et un coordinateur bénévole.

Les membres du comité sont renouvelables à chaque saison de production.

De par ce partenariat de proximité entre producteur et consommateurs, les AMAP favorisent le dialogue social entre ville et campagne, facilitent la coexistence entre les loisirs de plein air et les activités productives, et l’usage multiple des espaces agricoles.

Les engagements des consommateurs

En adhérant à une AMAP, le consommateur prend les responsabilités suivantes :

  • S’engager en payant se part de la récolte à l’avance, en comprenant que cela inclut le partage des risques et des bénéfices avec la ferme, pour la saison à venir.
  • Venir chercher son panier au jour et à l’heure dits. Prévenir s’il ne peut prendre son panier (retard, vacances, etc.) et convenir d’un arrangement selon les possibilités qui ont été définies au début de la saison.
  • Communiquer en toute franchise et liberté ses bonnes remarques, ses questions ou ses insatisfactions directement auprès de son producteur et du coordinateur, pour qu’ils puissent examiner ensemble si des explications ou des améliorations sont possibles.
  • Partager ses idées et ses initiatives avec la ferme et les autres partenaires afin d’améliorer le fonctionnement du projet.

Les engagements des producteurs

En devenant partenaire d’une AMAP, le producteur prend les responsabilités suivantes :

  • Produire une diversité de légumes et d’autres éléments, si possible, pour composer des paniers variés.
  • Livrer les produits au jour et à l’heure dits.
  • Aviser ses partenaires en cas de problèmes exceptionnels qui affecteraient la livraison ou toute activité : problème climatique grave, maladie, etc.
  • Être ouvert pour expliquer le travail de la ferme à ses partenaires.
  • Prendre en compte les remarques et les besoins de ses partenaires. Dans le cas où il ne peut satisfaire à une demande, en expliquer les raisons. Effectuer une évaluation à la fin de la saison.

Les garanties

Un des objectifs d’Alliance étant de promouvoir et pérenniser les AMAP en France, elle souhaite garantir une transparence de la démarche auprès de ses partenaires.
Ainsi, une première charte des AMAP a été adoptée par Alliance Provence qui a déposé la marque AMAP. Des modifications y seront apportées au fur et à mesure de l’expérience acquise.
Elle permettra d’identifier clairement les AMAP parmi les autres initiatives contribuant également à un développement durable de la société.
La charte donnera accès aux AMAP signataires aux avantages du réseau qu’Alliance est en train de mettre en place : utilisation du nom AMAP, appui technique à la création et au suivi, coordonnées diffusables sur les outils de communication…

Pourquoi participer : producteurs

Selon une source faisant la synthèse d’études et d’observations réalisées en Amérique de Nord, il ressort que les paysans participent à une CSA pour 2 raisons principales :

  • la sécurité financière procurée par l’achat à l’avance des produits par les consommateurs ;
  • la valorisation sociale : travailler pour un groupe de personnes que le paysan connaît, et avec qui il peut échanger régulièrement et au delà de l’aspect commercial.

L’avis de Daniel Vuillon, premier producteur en AMAP

Pourquoi participer : consommateurs

Selon des sondages auprès des consommateurs en CSA, il ressort 2 raisons principales pour lesquelles ceux-ci y participent :
santé/bien-être : consommer des produits frais, de saison, bio , diversifiés, retrouver un certain lien avec la nature et les produits d’antan (qu’il estime, de plus, plus savoureux ) ;
action citoyenne : soutenir directement un agriculteur local, développer les liens ville-campagne.
La raison économique (produits de qualité à un prix abordable) ne semble pas faire partie des raisons principales.

Une AMAP conviendra donc à un consommateur si ce dernier :

  • est conscient des relations entre alimentation et santé ;
  • a le souhait de renouer avec la nature (côté éducatif, pour les enfants notamment) ;
  • a le sentiment d’appartenir à un groupe et perçoit la ferme comme une seconde maison ;
  • peut accepter les contraintes de fonctionnement (engagement sur 6 mois ou 1 an, soir et heure de livraison fixes, produits choisis à l’avance).

Concernant le dernier point, et en particulier le fait de choisir les produits avant la saison mais pas pendant les distributions, plusieurs consommateurs nous ont confiés qu’ils voyaient en fait cela comme un avantage :
ils n’ont plus à réfléchir à leurs achats chaque semaine !
De plus, l’AMAP leurs permet parfois de découvrir agréablement de nouveaux produits.

L’AMAP au regard du développement durable

Voici les avantages du développement des AMAP pour la société :

  • apprécier les bénéfices environnementaux d’une nourriture qui n’a pas parcouru des centaines de kilomètres, avec moins d’emballages, issus d’une agriculture bénéfique pour la biodiversité, protégeant les sols et l’eau, moins polluante et moins énergivore ;
  • rendre possible (ou favoriser) le retour des particularités alimentaires locales et régionales ;
  • améliorer l’économie locale par une augmentation des emplois (en 2002 pour les 17 AMAP provençales, 12 postes sont passés de saisonnier à permanent afin de pouvoir fournir de produits en quantité et diversité suffisante pour toute l’année), plus de processus locaux, de consommation locale, et circulation de l’argent dans la communauté ;
  • bénéficier de l’amélioration des liens sociaux, de la responsabilité sociale, du sens de la communauté et de la confiance.

Les avantages des AMAP peuvent aussi se regrouper selon les 3 axes du développement durable :
écologiquement sain, socialement équitable, et économiquement viable.

Annuaire des AMAPhttp://desirsdavenirparis5.over-blog.com/ext/http://www.reseau-amap.org/

Publié dans Democratie, Elles et ils chantent la Liberte, Europe, Intelligences collectives socialistes, Local, Municipales 2008 Saint-Denis, Ségolène Présidente en 2012, Société | Pas de Commentaire »

Victoire de Dilma Rousseff : un vote de confiance en l’avenir‏

Posté par goalexandre le 1 novembre 2010

Lettre d'information de Ségolène Royal

 

Je salue chaleureusement la belle victoire de Dilma Rousseff à l’élection présidentielle brésilienne. Je me réjouis que le peuple brésilien ait choisi de poursuivre et d’approfondir avec elle le changement économique, social et démocratique conduit avec audace et pragmatisme par le Président Lula.

Dilma Rousseff dont j’ai pu, lors de nos rencontres au Brésil, mesurer le courage, la compétence et la détermination, a affronté une campagne dure au cours de laquelle les partisans de son adversaire ont alimenté les rumeurs les plus basses et tenté de jouer sur la peur.
Le Président Lula avait dû, en 2002, subir le tir de barrage de ceux, marchés financiers en tête, qui prédisaient le chaos au cas où il serait élu.
Dilma Rousseff a eu, elle aussi, sa part d’attaques violentes et de pronostics apocalyptiques décrivant un pays à feu et à sang au cas où elle en prendrait la tête.
Mais les électeurs brésiliens ne sont pas tombés dans le panneau.
Après avoir, pour la première fois dans l’histoire de leur pays, porté un ouvrier à la magistrature suprême, ils ont, pour la première fois encore, choisi une femme comme chef de l’Etat de la 8ème puissance économique mondiale.

Les électeurs brésiliens n’ont, ce faisant, pas seulement approuvé le bilan spectaculaire des années Lula : une croissance de plus de 7%, record du dernier quart de siècle, un chômage au plus bas, une classe moyenne désormais majoritaire, une pauvreté efficacement combattue pour des dizaines de millions de familles, un poids diplomatique croissant.
Ils ont aussi exprimé cette confiance dans l’avenir de ceux qui savent leur pays en plein essor et l’avenir de leurs enfants assuré d’être meilleur.

Du Brésil si légitimement fier de s’être « affranchi de la tutelle du FMI », comme aime à la rappeler Dilma Rousseff, nous sont venues quelques fortes leçons d’une cuisante actualité.
La première, c’est que la justice sociale n’est pas l’ennemie mais le carburant du dynamisme économique.
La seconde, comme l’a également souligné Dilma Rousseff durant sa campagne, c’est le rôle irremplaçable d’un Etat anticipateur et moteur pour qu’un pays titre, au service de tous, le meilleur parti de ses atouts.
La troisième leçon, c’est la nécessité d’un dialogue permanent avec les citoyens, les mouvements sociaux et les organisations syndicales car une démocratie participative et sociale accroît l’efficacité des politiques publiques.

Une femme énergique et de conviction vient d’être élue à la tête d’un grand pays qui peut puiser dans ses succès la force d’ouvrir de nouveaux chantiers et d’aller de l’avant.
Sa victoire est une bonne nouvelle pour le peuple brésilien et pour tous ceux qui veulent construire un ordre juste à l’échelle planétaire.

 

Ségolène Royal

 

 

Pour rejoindre Désirs d’avenir, cliquez ici

Publié dans Democratie, Elles et ils chantent la Liberte, Europe, Intelligences collectives socialistes, International, Local, Politique, Ségolène Présidente en 2012, Société | Pas de Commentaire »

 

Yüzyıla Ağıt |
St Maximin la Ste Baume que... |
inspecteurjjc |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Erratum
| Pascal-Eric LALMY
| Association pour une Meille...