AVEC SEGOLENE EN AVANT FORCE CITOYENNE NOUS C’EST ELLE ELLE C’EST NOUS

 

La Force Citoyenne européenne 

 

AVEC SEGOLENE

 AVEC SEGOLENE  EN AVANT FORCE CITOYENNE 

 

NOUS C’EST ELLE ELLE C’EST NOUS 

 

UNIS ET SOUDE

 

LE PEUPLE  EST LE SEUL DECIDEUR

 

DE SA DESTINEE

 

 

La crise que le peuple grec traverse actuellement a servi de révélateur à la cacophonie de l’Europe des Etats. Incapables de s’entendre car trop soumis à leur logique individuelle, les gouvernements européens partent dans des directions opposées, les plus riches abandonnant les plus pauvres à leur sort. Entre citoyens européens, nous sommes tous liés. Allons-nous attendre impassibles que le ciel nous tombe sur la tête ? 

 

Le manque de courage politique de l’Europe libérale pénalise les uns pour immuniser les autres. L’Europe des patrons pousse à merveille dans la chienlit du détricotage institutionnel, soutenu par un Parlement libéral-conservateur. Affaiblir notre bien-aimée Europe, est-ce là l’intérêt des citoyens européens ? Non, nein, no ! Ce n’est dans l’intérêt de personne, pas-même des plus riches (puissent-ils m’entendre)  de renier les fondements de l’idéal européen, une force sociale pour tous les peuples. 

 

La Force Citoyenne qui anime Ségolène Royal se décline aussi bien en France qu’en Europe. Présidente des Français, elle encouragerait le projet d’Etats-Unis d’Europe, un projet hérité d’Emmanuel Kant ou de Victor Hugo. Ce projet suppose l’instauration d’un gouvernement économique européen véritable qui assurerait la stabilité et la compétitivité de notre monnaie unique en propulsant à l’échelle de la communauté un plan de relance porteurs d’avenir, en direction de l’écologie, de la santé, de la recherche et du partage des savoir-faire. 

 

Entre voisins, nous avons tout à partager ! La région étant le premier partenaire des plans d’aide européen (du FEDER), qui mieux qu’une présidente de région sait les bienfaits d’une Europe courageuse, entreprenante et juste ? La volonté de Ségolène Royal de lutter contre les injustices et les inégalités ne connaît pas de frontières. 

 

Judith Pargiter